Voici une semaine que je vis dans la mégapole tokyoïte, et déjà, je renie mes promesses…
Pardon à tous pour mon relatif silence. Mais il s’explique par de nombreux facteurs.
Tout d’abord je voulais faire les choses bien, ne pas vous envoyer un banal e-mail groupé pour un simple « youhou ! », et surtout, me créer un outil qui soit capable de faire le lien entre vous et moi.
La seconde raison est que je suis un adepte du surf sur la vague du net mais incapable de produire le moindre clapotis. Il a fallu que je patauge pour produire ce que vous voyiez aujourd’hui. Mais promis, dans les semaines et mois qui viennent, ce blog et l’album photo qui lui est rattaché s’enrichiront en contenu et en qualité.
La dernière raison est que je ne me doutais pas que pour me faire une petite place ici, j’aurais une telle tâche tant logistique (ne jamais emménager chez un célibataire) qu’intellectuelle (le blues du départ) à fournir.
Donc voilà, je suis bien arrivé, non sans un feu d’artifices d’émotions, de la peur, de la joie, de l’envie, de la tristesse aussi. Car j’ai été particulièrement touché par toutes les preuves et déclarations d’amitié que j’ai reçu avant de partir. Je ne suis pas très fort pour exprimer cela, me sentant parfois désarmé, ayant peur de ne pas vraiment mériter cela. Mais, si je ne l’ai pas assez dit, je voudrais que tous vous compreniez que vous êtes les pièces du puzzle de ma vie, tous différents, précieux, des parts de moi et que sans vous je ne serais pas là où je suis aujourd’hui. Alors merci a tous, et même si je ne suis pas infaillible, je ferais tout pour que ces liens entre nous ne se distendent pas complètement.
Dans les jours qui viennent je vous présenterais mon quotidien pour vous emporter un peu ici.
A vite !
Libellés : nouvelles
tu me manques aussi énormément...
bon courage pour l'adaptation.
Pour moi, qui ai déjà changé de continent une fois, il m'a bien fallu deux mois pour atterrir. Ca prend du temps.
BIZ a vous deux. GB
J'attends la suite, en attendant amuse toi beaucoup!
Je t'embrasse
Natacha: pour que la comédie romantique ne meurt jamais.
PS: Allez, t'es mignon, quand même...